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vendredi 3 mars 2023

Démantelement de l'usine Georges Besse 1 d'Orano-Areva au Tricastin : des stocks radioactifs bien encombrants, les engagements non-respectés

demantelement_nucelaire_eurodif_tricastin_02.jpgOrano respecte-t-elle ses engagements vis à vis de l'ASN dans le démantèlement de sa vieille usine d'enrichissement de l'uranium du Tricastin "Georges Besse I"? Rien n'est moins sûr selon les inspecteurs de l'Autorité de Sûreté Nucléaire qui, le 26 janvier dernier, sont venus sur place vérifier l'état des lieux. Et encore une fois les délais et échéances ne seront pas respectés. Un démantèlement d'installation nucléaire c'est aléatoire, onéreux, long, dangereux et polluant sans régler pour autant la question des déchets mortels ainsi générés.

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samedi 3 octobre 2020

L'impossible démantèlement nucléaire : plaintes en cascade contre Areva-Orano et son usine d'uranium George-Besse I du Tricastin

Areva-Orano_Tricastin_entree-sud.jpgSur les tableurs excels, comme dans les prévisions et sur les fiches des ingénieurs du nucléaire, démanteler une installation nucléaire c'est du tout cuit et ça peu rapporter gros. Notamment en réincorporant les déchets radioactifs dans des biens de consommation courante. Dans la réalité c'est onéreux, long, dangereux et polluant sans régler pour autant la question des déchets mortels ainsi générés. Et ça dissimule à tour de bras les coups tordus. Depuis 2012 l'installation nucléaire George-Besse 1 d'Areva-Orano, produisant de l'uranium enrichi pour les réacteurs et l'armement, située sur le plus grand site atomique de France, est à l'arrêt pour démantèlement. Huit ans plus tard une plainte est déposée pour neuf infractions à la réglementation nucléaire et pour délit de pollution des eaux.

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mercredi 5 juin 2019

Valence : le débat public sur les déchets nucléaires - la grande messe nucléariste - perturbé par les antinucléaires

2019-06-04_valence-debat-dechets-nucleaires_0.jpgCe mardi 4 juin 2019 la nucléocratie n'était pas à la fête à Valence (Drôme). Le débat public sur la gestion des déchets nucléaires organisé pour faire valider, par une mascarade de démocratie noyautée, le plan de poursuite du nucléaire et d'enfouissement des déchets radioactifs a été perturbé par les antinucléaires de Vaucluse et de Drôme. Devant la salle et dans la salle, les 150 cadres et directeurs du lobby nucléaire régional qui avaient squatté toutes les places au détriment du public et des citoyens se sont retrouvés pendant plusieurs heures avec, devant leurs yeux, des banderoles exigeants l'arrêt immédiat du nucléaire et fustigeant les projets de démantèlements entrainant un accroissement démentiel des déchets radioactifs.

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dimanche 14 avril 2019

Démantèlement dément d'Eurodif Tricastin : la presse régionale grande complice

eurodif-areva_demantelement.jpgUne Installation Nucléaire de Base, telle celle de production d'uranium enrichi du Tricastin (Georges Besse I) mise aujourd'hui à l'arrêt définitif est un peu comme un navire fantôme. Les errements et la dangerosité s'y côtoient et le commandant ne souhaite pas entendre poser des questions qui fâchent. Surtout si des pages de pub ont été déversées sur la presse institutionnelle. Mais ne parlez surtout pas de fake-news.

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jeudi 12 janvier 2017

Tricastin . Face au projet démentiel du lobby : Non au démantèlement, Oui à l'arrêt immédiat du nucléaire

24-05-eurodif.jpgUne pseudo enquête publique limitée dans le temps et au territoire de quelques communes autour du site atomique du Tricastin (Vaucluse - Drôme) s'ouvre pour lancer le démantèlement opérationnel de l'ancienne usine d'enrichissement d'uranium militaire et civil "Eurodif - Georges Besse I" d'Areva. Le CAN84 et la CAN-SE s'opposent à ce projet pour des raisons de santé publique et refusent la contamination radioactive de la région : pas une tonne de plus de déchets nucléaires, pas de transports radioactifs sur nos routes et les voies ferrées, pas de nouveaux salariés exposé à la mort, pas une victime civile de plus des rejets de radioactivité dans l'air et l'eau.

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mardi 6 décembre 2016

Coup de force permanent et jeu de massacre sanitaire : Areva Tricastin tente d'embrouiller la population et l'ASN et d'imposer une nouvelle installation nucléaire

dechets-nucleaires_01.jpgAttention danger : en catimini et en multipliant les dossiers administratifs de demandes de modifications de ses installations, Areva tente de créer en douce une nouvelle installation nucléaire de base (INB) pourtant soumise à autorisation ministérielle. De faire aussi potentiellement du Tricastin un nouveau lieu de stockage, de traitement et de conditionnement des déchets nucléaires. Pourquoi pas de toute la France ? Et le nucléariste tente d'imposer comme normalité la production, en grande quantité, de nouveaux déchets mortels  par ses opérations discutables de démantèlement de ses sites radioactifs.

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mercredi 2 novembre 2016

Catastrophes nucléaires de Fukushima : près de 880 tonnes de corium extrêmement radioactifs dans les réacteurs 1, 2 et 3 ?

JAPAN-QUAKE-DISASTER-ANNIVERSARYSelon une étude récente de "International Research Institute for Nuclear Decommissioning" les coriums des réacteurs atomiques explosés de Fukushima-Daïchi sont de 2,5 à 4 fois plus massiques que les produits de fission initiaux mortels. De faux certificats de formation des travailleurs ont été également mis à jour, le coût financier du démantèlement est revu à la hausse : 57 milliards d'euros ont déjà été dépensés, la durée prévisionnelle du démantèlement dépasse 2 générations, le nombre de malades et les morts augmentent.

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mercredi 11 juin 2014

Tricastin : le démantèlement d'Eurodif révèle un trop plein d'uranium, équivalent à une dizaine de sous-marins nucléaires.

2014-06-05_demantelement_Eurodif_Tricastin_Cylindre_duranium_hexafluoride_UF6.jpgAlors que les opérations de démantèlement d'Eurodif/Areva déjà réalisées laissent apparaître des quantités d’Uranium bien supérieures à celles attendues :  la Direction veut arrêter les opérations au 31 décembre 2015 qu’il reste ou non de l’uranium dans les installations. Pourtant Il faudrait un an de plus pour évacuer des installations contaminées par les 100 tonnes d’uranium restantes équivalent au combustible d’une dizaine de sous-marins nucléaires.

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mercredi 21 août 2013

La catastrophe nucléaire continue : encore un incident grave de niveau 3 à Fukushima

2013-07-07_japon-radioactivite-fukushima-tokyo.jpg300 tonnes d'eau radioactive se sont répandues en flaques et dans le sol du site de la centrale nucléaire japonaise en perdition de Fukushima. L'extension de la contamination est inévitable. Alors que l'Autorité de régulation nucléaire avait qualifié de simple "anomalie" et situé cet incident nucléaire au niveau 1 de l'échelle internationale des événements nucléaires (INES, de 0 à 7), elle vient de le requalifié d'"incident grave" situé au "niveau 3" de l'échelle INES. La radioactivité mesurée à environ 50 cm au-dessus de ces flaques est d'environ 100 millisieverts par heure soit la dose maximale imposée sur cinq ans au Japon pour les travailleurs du secteur nucléaire. Ces fuites radioactives atteignent un niveau monstrueux de 20 000 à 40 000 milliards de becquerels depuis le mois de mai 2011. Aucun gouvernement occidental ne bouge, les instances internationales ne s'impliquent toujours pas alors que la catastrophe nucléaire est devenue une catastrophe mondiale.

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vendredi 9 novembre 2012

Fukushima : décontamination et dédommagements pourraient coûter 100 milliards d'€uros au bas mot

2012-11-01_fukushima-decontamination-et-dedommagements--100-mds-euros_site-nucleaire-detruit_2.jpgLe coût financier de l'accident nucléaire de Fukushima, comprenant la décontamination et les dédommagements des victimes, pourrait atteindre 100 milliards d'euros, le double de la somme initialement prévue, selon la compagnie gérante de la centrale. Mais le véritable coût économique dépassera dans tous les cas et de loin ce qui sera effectivement pris en charge par Tepco ou l'Etat japonais, car il faudra y inclure tous les "effets collatéraux" sur le commerce, l'industrie, le secteur touristique, etc...  et pas seulement dans la préfecture de Fukushima mais dans l'ensemble du Japon. Sans parler du coût humain, sanitaire, médical, traumatique des populations sur plusieurs décennies...

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