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vendredi 3 mars 2023

Démantelement de l'usine Georges Besse 1 d'Orano-Areva au Tricastin : des stocks radioactifs bien encombrants, les engagements non-respectés

demantelement_nucelaire_eurodif_tricastin_02.jpgOrano respecte-t-elle ses engagements vis à vis de l'ASN dans le démantèlement de sa vieille usine d'enrichissement de l'uranium du Tricastin "Georges Besse I"? Rien n'est moins sûr selon les inspecteurs de l'Autorité de Sûreté Nucléaire qui, le 26 janvier dernier, sont venus sur place vérifier l'état des lieux. Et encore une fois les délais et échéances ne seront pas respectés. Un démantèlement d'installation nucléaire c'est aléatoire, onéreux, long, dangereux et polluant sans régler pour autant la question des déchets mortels ainsi générés.

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jeudi 29 décembre 2022

Alerte Tricastin : la Fleur du mal, un nouveau parc d’entreposage de déchets radioactifs

site-atomique-du-Tricatin_Drome-Vaucluse_canal-Di=onzere-Mondragon.jpgLa mise en service annoncée d'une nouvelle installation nucléaire de base va avoir lieur sur le site atomique du Tricastin: Fleur, destinée à stocker un des trop-pleins mortels radioactifs national d’Orano et d’EDF. Tout ce qui est dégueulasse porte un joli nom. Des tonnes de CO2, de transports dangereux, de consommation exorbitante d'eau en perspective pour la construction; puis quatre bâtiments métalliques de 11 m de haut abriteront chacun jusqu’à 14 080 fûts d’uranium de retraitement (URT). Déjà la plateforme d’Orano/Areva comporte huit installations nucléaires de base,  deux usines Seveso seuil haut et une installation nucléaire de base secrète militaire lié au CEA et à la bombe. Auquel viennent s'ajouter sur 650 hectares les installations nucléaires de EDF dont les quatre délabrés réacteurs atomiques. Aucun risque, selon l’Autorité de sûreté nucléaire, qui n’a pas son pareil pour noyer le poisson avec son charabia technique. Un article de "Charlie Hebdo"

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dimanche 20 mars 2022

Déchets d'Areva-Orano au Tricastin : une formation du personnel au petit bonheur la chance et les déchets radioactifs laissés en plan

2022_fut-dechets-radioactifs_02.jpgOn pourrait penser, voire croire, qu'en matière de nucléaire les exploitants atomiques font très attention et tout leur possible pour éviter le pire notamment en formant correctement les personnels et gérant précautionneusement les déchets radioactifs. C'est une grossière erreur comme vient de le confirmer - le 19 janvier dernier -  une inspection de l'ASN sur le site d'Orano-Areva du Tricastin (Drôme-Vaucluse)

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samedi 11 mai 2019

Plan de Gestion des Matières et Déchets Radioactifs : une campagne officielle de désinformation et de fake-news. La vérité : 200 millions de m3 de déchets radioactifs et non pas 1,6 millions de m3

2019_dechets-radioactif-empoisonnement.jpgPGMDR : le dossier mis en débat par l'Etat et la nucléocratie est truffé d’affirmations erronées et de présentations partisanes repris et largement diffusé par les réseaux sociaux et les médias. Présentation qui se veut rassurante mais trompeuse. Ainsi de la grossière sous-évaluation des volumes de déchets, tels les 282000m3 de  boues  radioactives  de  Malvési, les 23millions de m3 de déchets issus de la lixiviation (dynamique) du minerai d’uranium, les 537000m3 de  déchets dits TFA (Très Faible  Activité),  les 15 millions  de  m3 de  déchets  issus  de  la lixiviation (statique) des minerais pauvres, les dizaines de millions de m3 de stériles uranifères, les centaines de millions de mètres cubes produits à l’étranger par Cogema/Areva/Orano pour les besoins de l’industrie  nucléaire  française. Au final, il n’y a pas 1,6 millions de m3 de déchets radioactifs en France mais de l’ordre de 200 millions de m3. Déchets dont la durée de vie ou la radiotoxicité sont sous-évalués. En matière de nucléaire, les consultations, débats publics et autres enquêtes publiques ne sont pas instaurés pour rechercher les options  le  plus satisfaisantes  pour  l’intérêt  général  mais  pour  donner  un  vernis démocratique à des décisions déjà prises.

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mercredi 18 juillet 2018

Incident nucléaire au Tricastin dans la "piscine" d'entreposage des produits usés de fission atomique

Centrale-nucleaire-de-Tricastin_batiment-reacteur_batiment-combustibles-uses.jpgUn incident nucléaire, classé au niveau 1 sur 7 par l'ASN s'est produit sur le réacteur n°1 de la centrale atomique du Tricastin. Alors que cet incident est en cours depuis le 7 juin ce n'est que le 28 juin qu'il a été déclaré officiellement et discrètement à l'Autorité, EDF ne s'en étant aperçu que le 23 juin. Le public et les riverains, eux, n'en savent toujours rien. Ce sont deux ventilateurs du système de ventilation du bâtiment d’entreposage des déchets de fission nucléaire en charge d'éviter les rejets radioactifs dans l'air qui sont en cause. Rejets ? pas rejets ? la roulette russe du nucléaire se banalise et se poursuit jusqu'au grand "boum" final...

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samedi 17 février 2018

Déchets nucléaires : des piscines géantes de stockages radioactifs à votre porte. Tricastin, Marcoule, Cadarache sur la liste ?

Areva_La-Hague.jpgLa gestion des déchets radioactifs en France est devenue inextricable.  Un article du site internet "Reporterre" signé de Hervé Kempf (ancien de "Le Monde") illustre le mépris dans lequel les tenants de la destruction atomique civile et militaire tiennent la population. Un projet de méga-piscine de déchets usagés est envisagé dans la Loire mais Tricastin pourrait être au nombre des convoitises démoniaques des mystiques de la destruction atomique. Tout comme Marcoule et Cadarache. Illustration au cœur même de ce qui est nommée encore la "représentation nationale"...

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mardi 6 décembre 2016

Coup de force permanent et jeu de massacre sanitaire : Areva Tricastin tente d'embrouiller la population et l'ASN et d'imposer une nouvelle installation nucléaire

dechets-nucleaires_01.jpgAttention danger : en catimini et en multipliant les dossiers administratifs de demandes de modifications de ses installations, Areva tente de créer en douce une nouvelle installation nucléaire de base (INB) pourtant soumise à autorisation ministérielle. De faire aussi potentiellement du Tricastin un nouveau lieu de stockage, de traitement et de conditionnement des déchets nucléaires. Pourquoi pas de toute la France ? Et le nucléariste tente d'imposer comme normalité la production, en grande quantité, de nouveaux déchets mortels  par ses opérations discutables de démantèlement de ses sites radioactifs.

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jeudi 17 juillet 2014

La prise de la pastille : le CAN84 avec les Champenois contre le projet d'enfouissement des déchets radioactifs à Bure

CAN84_Bure-Haleurs_on-ne-lache-rien.pngLes Bure-Haleurs étaient venus participer aux deux dernières "marches antinucléaires pour la vie" organisées en Provence par le CAN84. Cet été, comme l'an dernier, des antinucléaires de Provence participent au "Halage du Débat" de Bure (Champagne-Ardennes) à Paris contre le projet démentiel d'enfouissement sous terre des déchets nucléaires mortels. Une solidarité inter-régionale pour mettre un terme aux exactions criminelles des nucléocrates.

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dimanche 25 mai 2014

USA : une catastrophe nucléaire en cours à 655 mètres sous terre au centre de stockage de déchets radioactifs du Nouveau Mexique ?

20140206__WPPnidnt-0206_p2.jpgDepuis le 5 février 2014, un accident nucléaire de grande ampleur (prélude à une catastrophe nucléaire?) est en cours au centre de stockage profond de déchets radioactifs au Nouveau Mexique (USA). Un incendie dans la zone nord puis, 9 jours plus tard, un relâchement de radioactivité dans la zone sud se sont produits au WIPP (Waste Isolation Pilot Plant) qui est prévu pour entasser 176 000 m3 de déchets transuraniens contenant notamment de l’Américium et du Plutonium, issus d’activités nucléaires de défense (recherches militaires et production d'armes nucléaires). Un ou plusieurs containers se sont ouverts, à 655 mètres sous terre, suite à une explosion d’origine chimique. La radioactivité la plus terrible - Plutonium, Americium - s’est échappée et s’échappe encore.

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