Alors que la nucléocratie et les politiciens asservis de France veulent relancer le nucléaire, celui-ci s’essouffle dans le monde. Le rapport annuel sur l’état des lieux de l’industrie nucléaire mondiale (WNISR) rédigé par des experts indépendants et présenté ce 1er février 2023 à Paris en atteste. Désormais, la part du nucléaire est passée sous la barre des 10 % de la production électrique nette mondiale (9,8 %) en 2022 contre 17,5 % en 1996. L’atome est de plus en plus rapidement dépassé par l’éolien et le solaire.
Mot-clé - Rosatom
samedi 4 février 2023
Malgré les bla-bla officiels français, le nucléaire a encore décliné en 2022 dans le monde
Par Rédaction le samedi 4 février 2023, 13:11 - International
mercredi 1 février 2023
Orano (ex-Areva) le spécialiste nucléaire de la faillite a les yeux plus gros que le ventre
Par Rédaction le mercredi 1 février 2023, 18:24 - Tricastin
Les PDG passent mais le délire criminel demeure. On se croirait revenu au temps des investissements foireux de l'époque Lauvergeon. Orano (ex-Areva) veut investir entre 1,5 et 1,7 milliard d’euros dans une nouvelle installation pour fournir en uranium enrichi... principalement les USA en lieu et place du Russe Rosatom. Un pari plus qu'audacieux misant sur la guerre militaire et économique contre la Fédération de Russie pour une installation délirante, dangereuse, polluante et contaminante qui ne serait opérationnelle au mieux qu'en 2030 et implantée en pleine zone sismique et inondable. Orano poursuivra toutefois son business avec la Russie qui lui enrichi une partie de ses déchets radioactifs en uranium de retraitement. URT que le nucléariste souhaite imposer dans tous les vieux réacteurs délabrés EDF de l'hexagone.
lundi 12 septembre 2022
Histoire : l'affrontement nucléaire USA-France-Russie en Ukraine ou la guerre des atomes
Par Rédaction le lundi 12 septembre 2022, 11:48 - International
Pour qui regarde la réalité historique il-elle découvrira, derrière la guerre, un affrontement de vingt ans entre d'un côté la Russie et Rosatom pour garder la fourniture d'uranium à l'Ukraine pour ses monstrueuses centrales atomiques en contre-partie de la destruction des stocks d'armement nucléaire ukrainien sur le sol russe et en face, aux aguets, d'une part la France qui aurait souhaité placer Cogema-Areva-Orano comme fournisseur des produits de fission atomiques aux centrales ukrainiennes et, d'autre part, les Etats-Unis et le gestionnaire Energoatom qui, au final avec Westinghouse, ont emporté en 2014 et de manière exclusive ce marché de mort.
mercredi 24 mars 2021
Areva-Orano au Tricastin : l'isotope stable qui masque la radioactivité
Par admin le mercredi 24 mars 2021, 13:20 - Tricastin
La presse régionale et locale aime à encenser le secteur nucléaire. Normal, la manne financière publicitaire en est la contre-partie. Ainsi dernièrement elle s'est fait la chargée de communication d'Orano du site atomique du Tricastin. Sur 4 colonnes et un quart de page, et à coup de 15 millions d'euros d'investissement le nucléariste annonce le début de la construction d'une nouvelle installation qui se fixe comme objectif de s'attaquer au marché des « isotopes stables » en appliquant les techniques déjà mises en œuvre dans l'enrichissement de l'uranium radioactif. Nous en avons profité pour explorer les plans comptables de l'opération. Une nouvelle « affaire » en perspective ?
jeudi 15 août 2019
Accident nucléaire sur une base militaire russe de lancement de missiles
Par Rédaction le jeudi 15 août 2019, 21:00 - International
Une explosion s'est produite le 8 août dernier dans un centre russe de recherches nucléaires au large de Nionoksa, dans la région d’Arkhangelsk, dans le Grand Nord russe. Le bilan réel des victimes reste incertain et les circonstances de l’incident peu claires. L'explosion aurait fait cinq morts et au moins trois blessés par brûlures. Et des rejets radioactifs 16 fois supérieurs au "bruit de fond radioactif" habituel. Possiblement de plutonium, de promethium et de cerium.
dimanche 2 avril 2017
La faillite mondiale du nucléaire
Par admin le dimanche 2 avril 2017, 21:10 - International
Après la faillite d'Areva en France, le sur-endettement et l'éjection du CAC40 d'EDF : le plus grand constructeur mondial de réacteurs nucléaires, l'Américain Westinghouse racheté par le Japonais Toshiba, s'effondre, accumule 10 milliards de dettes, se déclare en faillite et dépose le bilan. L'autre Américain, General Electric, tout comme le Japonais Hitachi, sont en survie. Le suisso-suédois ABB a baissé le rideau et le Canadien HydroQuebec a mis en arrêt définitif son réacteur de Gentilly. L'Allemand Siemens a abandonné la filière nucléaire pour sauver sa peau : partout dans le monde la filière nucléaire est en déliquescence ...
Derniers commentaires