Sahara_Algerie_essai-nucleaire-francais.jpgCinquante ans après l’expérimentation des essais nucléaires français dans le Sahara, de 1960 à 1968, la région porte toujours de sérieuses séquelles sanitaires et écologiques dans l’indifférence des responsables français et algériens. 1er mai 1962 : le tir «Béryl», quatre fois Hiroshima, fait trembler In Ekker. 30 000 victimes continuent, cinquante après, de souffrir des retombées de l'exposition à la radioactivité, les régions irradiées d'être abandonnées à leur sinistre sort, les morts d'être voués à la loi du silence de la destruction atomique. Un drame que ni l’Algérie ni la France ne semblent vouloir affronter. Reportage du journal algérien El Watan.